Ë mon article de la semaine dernière, « Le Nouvelliste et les beaux jours du dictateur » (DP, 7 janvier), François Dayer, rédacteur en chef du Nouvelliste a répondu dans Le Temps du lendemain, qualifiant mes propos de « mensongers » sur un point. Un seul élément de mon article était, de fait, incomplet : j’écrivais que le journal ne « s’était guère prononcé » en son nom sur Pinochet. Or le NF avait publié un édito, qui m’a échappé, sévère pour le dictateur-général. M. Dayer n’a pourtant pu, sur son point essentiel, contredire mon argumentation : le procédé de type révisionniste de son journaliste, convient-il, est « inadmissible».
C’était là l’objet de ma fâcherie contre un responsable rédactionnel qui aurait dû, pour cette raison, refuser l’article de Rembarre. Nous nous sommes donc compris. C’est bien, et c’est tout. Jérôme Meizoz
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